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Augustin Ferrand

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1.N’utilisez pas de produits abrasifs pour nettoyer les parois des cabines. Le plus souvent, les parois sont en polystyrène ou en verre trempé. Les produits contenant des particules dures rayent la surface. Les bactéries s’installent volontiers dans ces rayures. L’aspect du matériau s’en trouve altéré.

2. N’utilisez pas de moyens agressifs pour laver le plateau. Par exemple, ceux qui contiennent de l’acide formique ou du formaldéhyde. Cela détruirait le revêtement.

3. Utiliser des chiffons en coton épais et des éponges double face pour le nettoyage. Les brosses rugueuses et les accessoires métalliques sont contre-indiqués en raison du risque de rayures. Les carreaux situés en hauteur peuvent être nettoyés facilement à l’aide d’une serpillière spéciale munie d’une tête de serpillière souple.

4. Protégez vos mains avec des gants en caoutchouc car certains produits et acides peuvent endommager la peau ou provoquer une réaction allergique.

5. Avant de laver la cabine, retirez les shampooings et les savons des étagères afin qu’ils ne gênent pas le nettoyage.

6. Évaluez la saleté existante. S’il y a des traces de moisissure par endroits, vous aurez besoin de produits chimiques ménagers contenant du chlore.

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Comment protéger vos lunettes de la condensation ?
Le moyen le plus fiable consiste à placer des verres à revêtement hydrophile dans la monture. Ce revêtement rend la surface du verre plus lisse et les gouttes d’eau ne s’y attardent pas. Ces verres sont plus chers que les verres ordinaires, mais il n’est pas nécessaire de les traiter ou de les frotter.

Si vous n’envisagez pas de remplacer vos lunettes, essayez de protéger vous-même le verre de la condensation. Voici comment procéder.

Produits spéciaux
Chez les opticiens, vous trouverez des compositions hydrophiles sous forme de sprays ou de lingettes imbibées. Ces produits sont également appelés antifogs ou antifoggers. Ils créent une fine pellicule invisible sur la surface qui repousse l’humidité. Avant de quitter la maison, il convient d’essuyer les lunettes de la saleté et de la poussière, de vaporiser un peu d’antifog, de l’étaler uniformément sur les verres et de les laisser sécher complètement. Vous devrez répéter l’opération régulièrement.

Cette solution convient à toutes les lunettes : lunettes de soleil, lunettes de vue, lunettes de natation et autres lunettes de sport.

Utiliser des moyens improvisés
L’avantage de l’antibuée est son innocuité pour les verres. Si vous souhaitez utiliser une alternative, vérifiez d’abord si vos lunettes sont dotées d’un traitement spécial (oléophobe ou anti-UV, par exemple) qui pourrait être affecté par les remèdes maison. Ces caractéristiques sont généralement indiquées sur le site web du fabricant des lentilles.

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Ce qu’il faut retenir lors du lavage des vêtements noirs
Examinez l’étiquette du vêtement, si vous l’avez encore. Elle indique la température optimale, ainsi que la méthode de lavage – manuelle ou en machine. Le fabricant peut notamment indiquer la possibilité de sécher les vêtements dans un sèche-linge automatique. Il arrive parfois que le produit ne puisse être confié qu’au nettoyage à sec.
En l’absence d’étiquette, lavez les vêtements noirs à l’eau à une température ne dépassant pas 30-40 ℃ afin de préserver la saturation des couleurs. Pour les tissus fins et délicats tels que la soie et la laine, ainsi que les sous-vêtements thermiques et les vêtements de sport, seule l’eau froide à une température ne dépassant pas 30 ℃ convient.
Lavez les vêtements noirs molletonnés ou en laine séparément du reste, sinon vous devrez passer du temps à nettoyer en profondeur les « marques » sur le tissu foncé.
Lorsque vous lavez un nouveau vêtement noir pour la première fois, il se peut que la teinture soit éliminée. Dans ce cas, il est particulièrement important de ne le combiner qu’avec des articles foncés, afin que le pigment ne déteigne pas sur les tissus clairs et colorés.

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D’où vient la poussière domestique ?
La poussière est constituée de petites particules d’un diamètre maximal de 0,1 mm qui pénètrent dans les maisons par les fenêtres et la ventilation, ainsi que par les semelles des chaussures. Les habitants de la maison sont également des producteurs efficaces de poussière : elle comprend des écailles de peau humaine, des squames et des poils d’animaux. Elle contient également des restes d’insectes, des fragments de plumes, des spores de champignons et des particules de divers matériaux de construction. Entre 30 et 60 mg de poussière pénètrent chaque jour dans notre organisme.

Comment vaincre la poussière
Pour commencer, vous pouvez vous inspirer des ouvriers de la cathédrale de Winchester, au Royaume-Uni. Pendant quatre semaines, ils ont débarrassé les statues et autres objets de décoration du sanctuaire d’une couche de poussière séculaire. Si cela a marché pour eux, cela marchera pour vous.

1. Ne créez pas de conditions favorables à la poussière
Réduisez au minimum le nombre d’objets susceptibles d’accumuler la poussière dans la maison. Les figurines, les vases, les souvenirs de voyage, les peluches et autres objets décoratifs sont certes agréables à regarder. Mais ils accumulent aussi beaucoup de poussière et il faut du temps et des efforts pour s’en débarrasser. Vous devriez également retirer des surfaces ouvertes les objets que vous n’utilisez pas tous les jours : cosmétiques, parfums, bijoux, vaisselle, piles de papiers. Les tapis sont l’un des principaux collecteurs de poussière. Si vous ne pouvez pas les abandonner, vous devrez les nettoyer de temps en temps.

2. Procédez plus souvent à un nettoyage humide
Ce conseil est vieux comme le monde et n’a toujours pas perdu de sa pertinence. Le nettoyage humide a des effets bénéfiques non seulement sur l’esthétique, mais aussi sur la santé, surtout si vous souffrez d’allergies et d’asthme. Munissez-vous d’un chiffon. Il est préférable qu’il soit en microfibre. À sec, il peut facilement recueillir toute la poussière, puis mouillé pour fixer le résultat.

Pour lutter contre la poussière, il est également pratique d’utiliser un balai pelucheux portant le drôle de nom de « pipidastre ». Ses fibres synthétiques ne balayent pas mais attirent les particules, ce qui accélère considérablement le nettoyage, même dans les endroits difficiles d’accès.

3. Choisir des appareils ménagers efficaces
Les aspirateurs équipés d’un filtre à eau traitent la saleté et purifient l’air. La poussière est aspirée et se dépose dans le réservoir de liquide, perdant ainsi toute chance de s’écouler. Certains modèles sont équipés en option d’un accessoire de nettoyage des sols qui accélère le nettoyage. Pour rafraîchir les meubles, les coussins et les textiles d’intérieur volumineux, par exemple les rideaux et les tulles, un nettoyeur vapeur ou un nettoyeur à vapeur est nécessaire. Ce dernier, d’ailleurs, peut facilement nettoyer les sols et autres surfaces.

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Ce qu’il faut savoir pour nettoyer le daim
Évitez de laver les articles en daim à la machine ou à la main. Après un contact prolongé avec l’eau et une exposition aux détergents, la matière peut se déformer, devenir rugueuse et perdre son aspect soigné.
N’essayez pas de nettoyer le daim à la vapeur. La saleté peut en effet disparaître, mais le produit risque de devenir rugueux.
Si vous avez peur d’abîmer l’article ou si vous ne pouvez pas vous débarrasser de la saleté à la maison, envoyez-le chez un teinturier. Indiquez aux spécialistes les produits que vous avez utilisés pour nettoyer vos chaussures, vêtements ou accessoires en daim.
Après avoir nettoyé le daim, attendez qu’il sèche complètement et, si nécessaire, traitez le produit avec une peinture spéciale, puis avec une imprégnation hydrofuge.

Comment nettoyer le daim avec de l’eau micellaire ?
Ce produit cosmétique permet d’éliminer la saleté sur le daim coloré, noir et blanc.

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La seule difficulté à repasser ce type de linge est son irrégularité. Les élastiques serrent le tissu et il n’est pas possible de repasser le drap sans problème. Si les élastiques sont situés uniquement dans les coins du drap, le repassage est un peu plus facile. En revanche, si l’élastique se trouve le long du bord, le repassage prendra plus de temps. Cela vaut la peine d’y réfléchir si vous avez beaucoup de choses à faire dans la journée.

Rouler et plier les bords l’un dans l’autre
Plier la feuille en deux dans le sens de la largeur, plier un bord dans l’autre. Faites de même avec l’autre bord. Puis pliez à nouveau la feuille en deux et repliez le coin dans le coin. Repassez la feuille en la déplaçant sur la table à repasser. Cette méthode convient à ceux qui cherchent comment repasser un drap dont les coins sont cousus par un élastique.

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Vérifier son véhicule
Le code de la route prévoit que les conducteurs doivent s’assurer que leur véhicule est en bon état de marche avant de prendre la route. C’est d’autant plus vrai à la veille d’un long voyage. Pour ce faire, les premières choses à vérifier sont :

l’état de fonctionnement du système de freinage, de l’éclairage et de la direction ;
le niveau d’huile du moteur et de la transmission, d’antigel, de liquide de suralimentation et de liquide de frein ;
la pression des pneus et l’état de la bande de roulement.
Assurez-vous également que les pneus ne sont pas endommagés et qu’ils sont de saison. Et bien sûr, faites le plein – il est toujours préférable de partir avec un réservoir plein.

Concentration du conducteur
Lors de ses déplacements, le conducteur doit rester concentré sur la route. Cette concentration peut être entravée par les autres voyageurs. Par exemple, à cause d’une musique forte ou de cris, il est possible de ne pas entendre le signal d’une autre voiture, et une vue soudainement fermée dans le rétroviseur empêchera de s’orienter et d’évaluer correctement la situation. Certaines personnes sont irritées par les conseils et les messages intrusifs : où tourner, qui dépasser ou laisser passer. Dans de telles situations, il convient de rappeler que c’est la personne au volant qui prend les décisions sur la route. Pour qu’elle puisse faire le bon choix et réagir à temps aux changements de la situation routière, elle ne doit pas être distraite.

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Utiliser les services d’un voyagiste
Il est communément admis que les voyagistes sont des intermédiaires inutiles qui font grimper le coût de vos vacances. En fait, c’est exactement le contraire. Sur le marché du tourisme, le voyagiste agit comme un acheteur en gros, de sorte que souvent une offre complexe, qu’il forme, revient moins cher. En outre, de nombreux voyagistes travaillent avec des hôtels où il n’est pas facile de réserver des places de manière indépendante.

Faites l’expérience : recherchez un voyage adapté auprès du voyagiste et comparez son coût avec le prix des différents éléments – vol, hébergement, repas. Souvent, dans le premier cas, le montant est inférieur de 18 à 20 %. En prime, vous n’aurez pas à vous soucier de l’achat de billets séparés, des réservations, des transferts vers l’aéroport et de la planification de l’itinéraire, qui sont les compagnons inévitables des voyageurs solitaires.

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Discutez des règles de comportement avec vos enfants
Il est préférable de ne pas emmener les enfants en âge de fréquenter l’école primaire pour une longue randonnée : ils auront du mal à suivre les instructions du moniteur et à parcourir de longues distances. Un adolescent, en revanche, pourra se débrouiller. L’essentiel est de discuter avec eux des règles de comportement avant le départ. Dites-lui, par exemple, qu’il est important de ne pas s’écarter du sentier, car on peut se perdre, de ne pas jeter de déchets et de ne pas essayer des baies inconnues.

Donnez à votre enfant la possibilité d’être indépendant. Laissez-le porter un petit sac à dos et participer à la cuisine et au montage de la tente. Il aura ainsi plus facilement l’impression d’être un membre à part entière du groupe et de vivre une expérience vivante du voyage.

Il est peu probable que vous rencontriez un magasin en chemin, alors préparez votre sac à dos avec soin. Mettez-le dedans :

Des allumettes. Vous en aurez besoin pour vous réchauffer près du feu et pour faire cuire des aliments. Et si vous vous perdez, la fumée attirera l’attention.
Boussole. L’orientation sur le terrain par la mousse n’est pas fiable, il est donc préférable d’emporter un appareil et d’apprendre à s’en servir à l’avance.
Sifflet. Si vous vous perdez, il aidera le groupe à vous retrouver.
Torche. Les smartphones en sont également équipés, mais il est plus pratique d’en avoir une séparée. Envisagez une version montée sur la tête : vous aurez toujours les mains libres avec une telle lampe de poche.
Une bouteille d’eau et des en-cas. En moyenne, il est recommandé de prendre 3 à 5 litres de liquide pour 20 à 30 km. Des noix, des fruits secs, de la chapelure, de la viande séchée feront l’affaire en guise d’en-cas.
Une banque d’alimentation et une radio. Lorsque vous choisissez ce dernier, faites attention au rayon d’action – 1 km suffit en forêt, mais en montagne, vous aurez besoin des 25 km – et à la durée du travail. Pour une randonnée simple, une radio qui peut « vivre » avec une seule charge pendant 5 heures convient.
Couverture isothermique. Une fine feuille d’aluminium ne prendra pas beaucoup de place dans votre sac à dos et vous protégera du froid, de la chaleur et du vent. Il est conseillé d’emporter une telle couverture même si vous partez en camping sans passer la nuit sur place, car le temps peut se dégrader brusquement.
Une petite trousse de premiers secours. Elle doit contenir de la crème solaire, des répulsifs, des pansements, des bandages, des antiseptiques, des analgésiques et des antipyrétiques.

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Bilan de santé
L’ascension d’une montagne est une expérience et un exploit à couper le souffle. C’est aussi un test puissant pour votre corps, en particulier pour votre système cardiovasculaire. Un bilan de santé préalable à l’ascension vous aidera à vous assurer que vous êtes prêt à relever tous les défis de l’alpinisme. Il vaut la peine de le faire six mois avant l’ascension, afin d’avoir le temps de résoudre d’éventuels problèmes.

Il existe un certain nombre de conditions qui ne sont pas recommandées pour faire de l’alpinisme. Il s’agit notamment des maladies cardiaques et pulmonaires, des calculs rénaux et des troubles endocriniens. En cas d’affection aiguë, il est préférable de renoncer à l’escalade, même si l’on en a vraiment envie. Si la maladie est à un stade chronique, vous pouvez consulter un spécialiste. Par exemple, en cas d’insuffisance coronarienne, il sera nécessaire de réduire la charge physique à une altitude de 2 500 mètres.

Renforcez votre endurance et votre dextérité
Six mois ou au moins quelques mois avant l’ascension, vous devez inclure dans votre programme d’entraînement : des exercices cardio (course à pied, natation, vélo), des exercices d’endurance et des exercices de force, en particulier pour les jambes et les abdominaux. Mais 10 jours avant le départ, il est préférable de se mettre en mode récupération afin que les muscles ne soient pas fatigués au moment de l’ascension.

Achetez tout ce dont vous avez besoin
Il s’agit non seulement de l’équipement, des vêtements et des chaussures spécifiques à l’alpinisme, mais aussi d’autres éléments importants : une lampe de poche, une trousse de premiers secours, de la crème solaire – les rayons sont particulièrement agressifs en altitude. N’oubliez pas non plus les dépenses importantes, notamment l’hébergement avant et après l’ascension, les billets de transport et les honoraires du moniteur.

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