Uncategorized

Vous préparez votre bagage cabine pour votre prochain voyage en avion ? Attention, de nouvelles règles sont entrées en vigueur en 2025. Même si vous pensez tout savoir sur ce que vous pouvez emporter, certaines surprises pourraient bien compliquer votre passage à la sécurité. Avec l’arrivée des nouveaux scanners C3 dans plusieurs aéroports européens, la liste des produits interdits a été mise à jour.

Des objets du quotidien, parfois anodins, sont désormais prohibés pour garantir la sécurité de tous. Avant de fermer votre valise, prenez quelques minutes pour vous informer. Cela pourrait vous éviter bien des ennuis et un départ de vacances stressant.

Bagages cabine : pourquoi de nouvelles règles en 2025 ?

Depuis 2025, voyager avec un bagage cabine est devenu un peu plus compliqué. Si vous prenez l’avion bientôt, vous devez savoir que les règles ont changé. Les aéroports en France et dans d’autres pays d’Europe ont installé de nouveaux scanners très puissants, appelés scanners C3.

Ces machines peuvent voir ce qu’il y a dans votre valise sans que vous ayez besoin de sortir vos affaires. C’est plus rapide, mais pour garantir la sécurité de tous, les autorités interdisent maintenant des objets qui semblaient autorisés avant.

Les autorités veulent éviter tout risque pendant les vols. Elles préfèrent donc agir avec beaucoup de prudence, même si cela complique un peu la vie des voyageurs. C’est pour votre sécurité et celle de tous les passagers.

Que risquent ceux qui transportent des objets interdits ?

Si vous mettez un objet interdit dans votre bagage cabine, cela peut vite devenir très embêtant. D’abord, votre sac peut être fouillé entièrement à l’aéroport. Cela peut vous faire perdre beaucoup de temps, et parfois même manquer votre avion.

Dans certains cas, les agents de sécurité confisquent l’objet. Vous ne le reverrez jamais. Si l’objet est très dangereux, comme un couteau ou un liquide inflammable, vous pouvez même recevoir une amende.

Les compagnies aériennes ont interdit de vol certains voyageurs pendant un certain temps. Imaginez devoir annuler vos vacances juste pour une petite erreur dans votre valise ! C’est pour cela qu’il est très important de bien vérifier ce que vous emportez avant de partir.

Quels produits sont désormais bannis en bagage cabine ?

Cette année, les autorités interdisent beaucoup d’objets en bagage cabine. Elles limitent toujours les liquides de plus de 100 ml, comme les parfums ou les gels douche. Même si les nouveaux scanners voient mieux à l’intérieur des sacs, la règle reste la même.

Vous ne pouvez pas non plus emporter des objets coupants comme des ciseaux, des couteaux, ou même de gros tournevis. Les agents de sécurité interdisent totalement les armes, même celles en jouet.

À lireAlerte aux concombres contaminés : ne mangez surtout pas ceux qui viennent de ces pays

Les produits dangereux, comme les sprays, les briquets à gaz, ou certains produits chimiques, ne doivent jamais se trouver dans votre sac. Votre sécurité et celle des autres passagers dépendent du respect de ces règles simples.

Nos conseils pour préparer un bagage cabine sans stress

Pour voyager sans souci avec votre bagage cabine, la règle d’or est de préparer votre valise à l’avance. Utilisez de petits contenants pour vos liquides et gardez seulement l’essentiel.

Pensez à vérifier les consignes de votre compagnie aérienne avant de partir, car elles peuvent être différentes selon les pays. Mettez vos objets de valeur et vos papiers importants dans votre sac, mais évitez tout ce qui pourrait poser problème.

Si vous avez un doute sur un produit, il vaut mieux le laisser chez vous. En suivant ces conseils simples, votre voyage commencera dans la bonne humeur, sans mauvaise surprise à l’aéroport !

L’huile d’olive est souvent vue comme un trésor pour notre santé. Pourtant, 60 Millions de consommateurs vient de lever un coin du voile. Leur enquête montre qu’une huile d’olive très connue cache des surprises très mauvaises pour la santé. Contaminants dangereux et goût douteux seraient au rendez-vous. Même les prix élevés ne protègent pas toujours contre la mauvaise qualité.

Pire encore, certaines huiles bon marché font vraiment peur ! Vous pensez peut-être bien choisir votre bouteille ? Attention, ce n’est pas si simple… Vous allez découvrir laquelle fait aujourd’hui polémique.

Pourquoi 60 Millions de consommateurs tire la sonnette d’alarme

Depuis toujours, on pense que l’huile d’olive est bonne pour la santé. Mais le magazine 60 Millions de consommateurs montre que tout n’est pas si parfait. En faisant des tests sur plusieurs bouteilles d’huile vendues en supermarché, ils ont trouvé de mauvaises surprises.

Certaines huiles contiennent des produits dangereux. Ce sont des restes d’huile de machines ou de carburants. Ce n’est pas ce qu’on imagine quand on veut faire une bonne salade ! Le problème devient encore plus grave quand les marques vendent ces huiles comme « vierge extra ». Ce label devrait garantir une bonne qualité.

Pourtant, certains résultats montrent l’inverse. Même si les bouteilles sont jolies et que les prix sont élevés, cela ne veut pas toujours dire que l’huile est saine. 60 Millions de consommateurs alerte donc tous ceux qui veulent faire attention à leur santé. Ils expliquent que bien choisir son huile est devenu vraiment important.

Eco+, l’huile d’olive à éviter absolument

Parmi toutes les huiles testées, celle qui a reçu la plus mauvaise note est celle de la marque Eco+. Cette huile est vendue à petit prix dans de nombreux supermarchés. Mais derrière ce prix bas, il y a un gros souci.

L’étude montre qu’elle contient beaucoup trop de produits chimiques dangereux. Ces substances peuvent venir de l’huile des moteurs et ne doivent pas être dans nos assiettes. Eco+ a aussi été critiquée pour son goût.

À lireVoici le meilleur chocolat de Pâques entre Ferrero, Kinder et Milka selon 60 Millions de consommateurs

En la goûtant, les spécialistes ont trouvé une saveur de moisi et de terre. Ce n’est pas ce que l’on attend d’une huile d’olive ! Normalement, une huile vierge extra doit avoir un goût pur et agréable. Ici, ce n’est pas le cas. La note finale de cette bouteille est très basse.

Elle montre que cette huile n’est pas une bonne option pour cuisiner ou pour assaisonner ses plats. Même si cette bouteille est moins chère, elle peut être mauvaise pour votre santé. Il vaut donc mieux dépenser un peu plus pour avoir une huile de meilleure qualité.

Quelles autres huiles sont aussi dans le viseur ?

L’huile Eco+ n’est malheureusement pas la seule à poser problème. 60 Millions de consommateurs a aussi trouvé d’autres huiles mal notées. Ces bouteilles viennent pourtant de marques connues.

Mais elles n’ont pas réussi à obtenir la moyenne aux tests. Certaines huiles contiennent aussi des produits chimiques. D’autres ont un goût qui n’est pas bon du tout. 60 Millions de consommateurs a aussi épinglé des marques comme Terra Delyssa ou Primadonna.

À lire60 Millions de consommateurs désigne la meilleure huile d’olive vendue en supermarché

Elles affichent des étiquettes attirantes, mais à l’intérieur, la qualité n’est pas toujours là. Cela montre qu’il ne faut pas choisir son huile juste en regardant le prix ou l’apparence. Pour bien protéger votre santé, il est essentiel de faire attention à ce que vous mettez dans votre assiette.

Vous avez prévu de voyager avec la SNCF pour le pont du 8 mai ? Attention, votre train pourrait bien ne jamais partir ! En mai 2025, plusieurs syndicats appellent à la grève, et cela pourrait sérieusement perturber le trafic. Même si rien n’est encore certain, mieux vaut anticiper. Échanger, annuler ou se faire rembourser un billet, ça peut devenir un vrai casse-tête si vous ne vous préparez pas.

Mais pas de panique, on vous explique tout pour éviter les mauvaises surprises. Entre préavis de grève et discussions en coulisses, la situation est encore floue. Alors, faut-il garder son billet ou changer ses plans ?

Pourquoi la grève SNCF menace vos voyages en mai 2025

Le mois de mai est souvent un moment où beaucoup de gens voyagent. Mais cette année, la SNCF pourrait bien tout chambouler. Deux syndicats importants, la CGT-Cheminots et SUD-Rail, ont décidé de lancer une grève à partir du 5 mai.

Cette grève pourrait durer plusieurs jours, pile pendant le pont du 8 mai. Si vous aviez prévu de prendre le train, votre trajet pourrait être annulé ou changé.

Rien n’est encore sûr, car des discussions sont en cours entre la SNCF et les syndicats. Mais il vaut mieux être prêt. Car si les trains sont supprimés, beaucoup de voyageurs vont devoir changer leurs plans à la dernière minute.

Ce que réclament les syndicats de la SNCF

Les syndicats de la SNCF ne font pas grève pour rien. Ils réclament de meilleurs salaires et de meilleures conditions de travail pour leurs collègues. Par exemple, la CGT-Cheminots demande d’augmenter la « prime de travail » des contrôleurs.

Ils souhaitent aussi que les logiciels qui organisent leur travail soient corrigés. En ce moment, ces outils créent beaucoup de problèmes dans leur quotidien. De leur côté, les conducteurs réclament une révision de leur « prime traction ».

À lireGrève à la SNCF : ce pont de mai est-il en danger ? Vos plans pourraient tomber à l’eau

Cette prime dépend du nombre de kilomètres qu’ils parcourent. SUD-Rail demande aussi 100 euros de plus chaque mois pour les contrôleurs. Ces revendications tendent l’ambiance à la SNCF.

Comment savoir si votre train est annulé ou maintenu

Quand il y a une menace de grève, il est très important de vérifier si votre train circule ou pas. Pour cela, la SNCF conseille d’attendre les annonces officielles. La SNCF annoncera la suppression de votre train la veille du départ, vers 17 heures.

L’information sera disponible sur SNCF Connect. Même si vous avez acheté votre billet il y a longtemps, il faudra bien surveiller jusqu’au dernier moment. Car tout peut changer très vite.

La SNCF mettra à jour les informations pour chaque train. Cela vaut aussi bien pour les TGV, les TER, les Ouigo et même l’Eurostar. Donc, soyez prêts à vérifier votre voyage !

Annulation, échange, remboursement : vos droits en cas de grève

Ne vous inquiétez pas si la grève annule votre train. La SNCF propose plusieurs solutions. Vous pourrez échanger votre billet sans payer de frais. Si vous préférez, vous pourrez aussi demander un remboursement complet.

Même si votre billet n’était pas remboursable au départ, la grève permet de changer cela. Vous devez attendre que la SNCF confirme la grève pour annuler votre train maintenu. En général, la SNCF fait des annonces spéciales pour aider les voyageurs. Il faut juste être patient et rester attentif aux messages officiels pour faire le bon choix.

Préparez-vous à dire adieu aux longues files d’attente dans les aéroports ! Une révolution silencieuse est en marche et va changer la façon dont vous voyagez. Très bientôt, vous n’aurez plus besoin de chercher fébrilement votre carte d’embarquement au fond de votre sac. Une nouvelle méthode plus rapide et plus pratique est en cours d’installation dans les aéroports du monde entier.

Ce changement promet de rendre votre passage à l’aéroport beaucoup plus fluide et agréable. Grâce aux nouvelles technologies, vos informations de vol seront toujours à jour et accessibles d’un simple geste. Mais comment ce nouveau système va-t-il vraiment transformer vos voyages ?

Pourquoi les cartes d’embarquement traditionnelles disparaissent

Depuis longtemps, quand vous preniez l’avion, vous aviez besoin d’une carte d’embarquement. Ce petit papier vous suivait partout dans l’aéroport. Mais souvent, on le perdait, on l’abîmait ou on oubliait où on l’avait rangé.

À force, cela créait beaucoup de stress pour les voyageurs et aussi pour le personnel. Aujourd’hui, grâce aux nouvelles technologies, il existe des moyens plus simples pour voyager.

Plus besoin de chercher dans ses poches ou son sac. Les aéroports veulent donc remplacer les cartes traditionnelles par une méthode plus rapide, plus sûre et beaucoup plus pratique pour tout le monde.

Le « pass de voyage » : la nouvelle carte d’embarquement numérique

À la place de votre vieille carte, vous aurez bientôt un « pass de voyage ». Ce pass sera dans votre téléphone. Dès que vous réservez votre vol, toutes vos informations seront enregistrées dans ce document numérique.

Vous n’aurez plus besoin d’imprimer quoi que ce soit. Tout sera à jour directement sur votre appareil. Plus de risque de perdre votre billet ou de le salir. C’est une idée très simple mais qui change tout.

À lireAlerte aux concombres contaminés : ne mangez surtout pas ceux qui viennent de ces pays

Votre vol, l’heure de départ, votre porte d’embarquement : toutes ces informations se mettront à jour toutes seules sur votre pass. Voyager deviendra beaucoup plus facile et moins stressant.

Comment la reconnaissance faciale va simplifier votre passage à l’aéroport

La grande nouveauté avec ce système, c’est l’utilisation de la reconnaissance faciale. Dès que vous arrivez à l’aéroport, une machine scannera votre visage. Pas besoin de sortir votre téléphone ou votre passeport tout le temps.

La machine reconnaîtra automatiquement qui vous êtes sans billet. Cela va faire gagner beaucoup de temps. En quelques secondes, vous pourrez passer les contrôles sans devoir montrer plusieurs documents.

En plus, cela rendra votre voyage plus sûr, car seules les bonnes personnes pourront embarquer. Ce sera donc plus rapide, plus simple et plus sécurisé pour tout le monde.

Quand cette révolution sera-t-elle disponible pour tous les voyageurs

Cette grande nouveauté ne sera pas en place tout de suite. Il faudra encore attendre quelques années. Les aéroports doivent installer des machines spéciales et former leur personnel pour bien utiliser cette nouvelle technologie.

Selon les experts, ce système complet de pass de voyage et de reconnaissance faciale sera prêt dans environ trois ans. Alors, encore un peu de patience ! Mais une chose est sûre : bientôt, voyager sera plus rapide, plus facile et beaucoup plus agréable grâce à cette invention.

Le compteur Linky fait encore parler de lui. En 2025, ceux qui refusent toujours de l’installer pourraient en payer le prix fort. Enedis a décidé d’imposer des frais à ces foyers réticents. Et la facture pourrait bien s’alourdir sans que vous vous en rendiez compte. Dès le mois d’août, ces frais vont s’ajouter automatiquement. Ce n’est pas une rumeur, c’est officiel. Et cela concerne des millions de Français.

Si vous avez dit non à Linky, mieux vaut savoir ce qui vous attend. Il reste un peu de temps pour changer d’avis. Mais pas beaucoup. La date approche, et les euros en trop aussi.

Pourquoi refuser Linky peut coûter (très) cher

Beaucoup de personnes en France ne veulent pas du compteur Linky chez elles. Elles pensent que ce petit boîtier n’est pas utile ou même dangereux. Certaines ont peur pour leur santé, d’autres n’aiment pas l’idée d’être surveillées.

Pourtant, ce choix pourrait leur coûter beaucoup plus cher. Enedis, qui gère l’électricité, a décidé de faire payer ceux qui refusent encore ce compteur.

Même si ce n’est pas une très grosse somme au début, ces frais vont s’ajouter chaque mois, et au bout d’un an, cela peut vraiment peser sur une facture déjà bien remplie. Dire non à Linky, ce n’est plus sans conséquence.

Quels frais Enedis va appliquer dès août 2025

Dès le mois d’août 2025, Enedis va commencer à facturer les foyers qui n’ont pas installé le compteur Linky. Ces frais seront de 6,93 euros tous les deux mois. Cela fait environ 42 euros par an. Mais ce n’est pas tout.

Si vous ne donnez pas vous-même les chiffres de votre consommation, alors d’autres frais seront ajoutés. Cela représente 4,18 euros chaque mois en plus. En tout, cela peut faire plus de 66 euros par an.

À lireCompteur Linky : 2,1 millions de Français réfractaires paieront 38€ de plus, êtes-vous concerné ?

Et ça, c’est sans compter les autres hausses de prix possibles. Enedis dit que ces frais sont là pour payer le travail en plus que demande le suivi des anciens compteurs. Ce système manuel prend du temps et coûte plus cher.

Peut-on encore éviter la hausse de facture ?

Oui, il est encore temps de faire un choix malin. Ceux qui n’ont pas encore installé Linky peuvent toujours le faire. Cela permettrait d’éviter tous ces frais supplémentaires.

En plus, le compteur Linky offre des avantages : on peut suivre sa consommation d’électricité en temps réel. Cela aide à mieux comprendre quand et comment on utilise l’énergie. Et donc à faire des économies.

Même si certains ont des doutes, beaucoup de familles ont déjà fait le pas. Il ne reste plus beaucoup de temps avant l’augmentation en août. Si vous voulez éviter de payer plus pour rien, c’est maintenant qu’il faut agir.

Linky : un outil de suivi… ou de sanction ?

Pour certains, Linky est vu comme un outil de contrôle. Ils ont peur que leurs habitudes soient observées. D’autres pensent que c’est une sorte de punition déguisée. Pourtant, le but principal de Linky est de suivre la consommation plus facilement.

Grâce à lui, Enedis n’a plus besoin d’envoyer quelqu’un pour relever les compteurs. Et vous, vous pouvez mieux gérer votre usage d’électricité. Oui, il y a des frais pour ceux qui refusent. Mais ce n’est pas une sanction. C’est une réponse à un choix. Et ce choix, chacun peut encore le faire.

Préparer un bon dessert à la pistache semble anodin. Pourtant, ce simple geste peut cacher un vrai danger. En France, un rappel urgent vient d’être lancé : des pistaches en poudre METRO CHEF seraient contaminées par une bactérie dangereuse. Ce produit est utilisé dans de nombreuses recettes, aussi bien chez les pros que chez vous.

Et ce n’est pas tout, les célèbres chocolats Dubaï, stars des réseaux sociaux, pourraient eux aussi être concernés. Le lien entre gourmandise et risque sanitaire n’a jamais été aussi fort. Alors, faut-il s’inquiéter ?

Ce que l’on sait sur le rappel des pistaches METRO CHEF

Depuis le 24 avril 2025, les magasins METRO ont retiré un produit très utilisé en cuisine : la pistache en poudre METRO CHEF. Vendu dans des sacs d’un kilo, ce produit servait surtout aux professionnels.

Entre novembre 2024 et mars 2025, il s’est retrouvé dans les rayons de tous les magasins METRO en France. Le souci, c’est que cette poudre contient une bactérie dangereuse : la salmonelle. Cette bactérie peut rendre les gens très malades.

Les lots concernés ont une date limite de consommation en octobre et novembre 2025. Il faut donc faire très attention. Même si le paquet semble bon, il ne faut surtout pas le consommer. Les autorités demandent à toutes les personnes qui en ont acheté de ne pas l’utiliser.

Quels sont les risques pour votre santé ?

La pistache en poudre retirée du marché contient une bactérie qui donne la salmonellose. Cette maladie peut causer de gros problèmes à l’estomac. Une personne qui mange ce produit contaminé peut avoir la diarrhée, des vomissements, des douleurs au ventre, et parfois de la fièvre.

Ces symptômes peuvent apparaître quelques heures après avoir mangé. Les personnes les plus fragiles sont les enfants, les personnes âgées, les femmes enceintes ou les malades.

À lireAlerte aux concombres contaminés : ne mangez surtout pas ceux qui viennent de ces pays

Si quelqu’un pense avoir été malade à cause de cette pistache, il faut aller voir un médecin rapidement. Heureusement, si l’aliment est bien cuit à plus de 65°C, cela peut tuer la bactérie. Mais il vaut mieux ne pas prendre de risque.

Le phénomène « chocolats Dubaï » va-t-il aggraver la crise ?

Depuis quelques mois, une nouvelle mode a tout changé : les chocolats Dubaï. Ces desserts venus du Moyen-Orient sont devenus très populaires grâce aux réseaux sociaux comme TikTok.

Ils contiennent souvent de la crème de pistache, ce qui a fait exploser la demande dans le monde. Du coup, il y a de moins en moins de pistaches disponibles, et les fabricants doivent acheter leur stock un peu partout.

Cela rend le contrôle plus difficile, car les pistaches viennent de plusieurs pays. On ne sait pas encore si ces fameux chocolats contiennent la bactérie, mais les experts s’inquiètent. Une nouvelle contamination pourrait aggraver la crise.

Que faire si vous avez acheté ce produit ?

Si vous avez chez vous un paquet de pistache en poudre METRO CHEF, surtout ne le mangez pas. Même si vous ne sentez rien d’étrange, la bactérie peut être là. Il faut ramener le produit au magasin METRO.

Le magasin vous rembourse complètement, même sans ticket de caisse. Si vous avez des questions, vous pouvez appeler le service client de METRO France. N’attendez pas, car votre santé est en jeu.

Chaque jour, vous utilisez de l’huile d’olive. En salade, en cuisson ou juste pour le goût. Mais savez-vous ce qu’elle contient vraiment ? Le magazine 60 Millions de consommateurs a analysé plusieurs références vendues en supermarché. Ce qu’ils ont découvert va vous surprendre. Hydrocarbures, plastifiants, goûts douteux… Certaines huiles vendues en grande surface cachent bien leur jeu.

Heureusement, une huile se démarque, et pas qu’un peu. Qualité, goût, sécurité… Elle coche toutes les cases. Et le plus fou ? Elle ne coûte pas une fortune. Prêt à changer vos habitudes ? Ce classement va peut-être bouleverser vos courses.

Le vrai visage des huiles d’olive de supermarché

Quand vous achetez une bouteille d’huile d’olive, vous pensez sûrement faire un bon choix pour votre santé. Mais ce n’est pas toujours le cas. Le magazine 60 Millions de consommateurs a étudié 22 bouteilles vendues en grande surface.

Leur but ? Voir si ces huiles sont vraiment bonnes pour vous. Et les résultats ne sont pas très rassurants. Certaines huiles contiennent des produits dangereux comme des plastifiants ou des hydrocarbures. Ces substances peuvent abîmer le corps, surtout si on en mange souvent.

D’autres huiles n’ont pas un bon goût, ou sentent mauvais. C’est un vrai problème, surtout quand on paye cher pour une huile qu’on pense de bonne qualité. Heureusement, tout n’est pas négatif. Il existe une huile qui a fait la différence.

L’huile Puget : la grande gagnante surprise

Parmi toutes les huiles testées, une marque très connue sort du lot : Puget. Son huile d’olive vierge extra a reçu une très bonne note. Elle ne contient presque pas de plastifiants, ni de produits dangereux.

Elle garde aussi toutes ses bonnes graisses, ce qui est excellent pour la santé. En plus, cette huile a du goût. Pas de défaut, pas d’odeur bizarre. Elle est vendue en supermarché, donc facile à trouver.

À lireVoici l’huile d’olive la plus dangereuse des supermarchés selon 60 Millions de consommateurs

Et même si son prix est un peu élevé, elle reste l’une des meilleures pour son rapport qualité-prix. Si vous voulez une huile sûre, bonne et facile à acheter, c’est cette bouteille qu’il faut choisir. Elle a su montrer qu’on peut encore trouver de la qualité en grande surface.

L’enquête qui fait trembler les marques bio

On pourrait penser que les huiles bio sont toujours meilleures. Mais ce n’est pas si simple. L’enquête montre que même dans les huiles bio, on trouve parfois des produits nocifs. Les chercheurs ont trouvé des plastifiants et des hydrocarbures dans plusieurs bouteilles bio.

C’est surprenant, car ces huiles sont souvent plus chères. Certaines n’ont même pas bon goût, avec des odeurs étranges ou un goût rance. Cette étude montre donc qu’il ne faut pas se fier seulement au mot “bio” sur l’étiquette. Il faut aussi regarder les résultats des tests et bien choisir sa bouteille.

L’élite des huiles : une perle française à prix d’or

Enfin, il y a une huile qui a battu tous les records. Elle s’appelle H de Leos, une huile d’olive française très spéciale. Elle a obtenu la meilleure note de tout le classement. Son goût est incroyable, et sa composition est excellente. Mais elle a deux défauts : son prix très élevé et sa rareté.

On ne la trouve pas en supermarché. Il faut la commander en ligne ou aller dans des magasins spécialisés. C’est une huile de luxe, pour les grands amateurs. Si vous cherchez le top du top, c’est elle qu’il vous faut. Mais pour tous les jours, l’huile Puget reste un choix sûr et malin.

Pâques est passé, mais un produit phare de cette fête refait parler de lui. Et pas pour une bonne raison. Chez Intermarché, une brioche aux fruits confits, pourtant populaire en rayon, est aujourd’hui au cœur d’un rappel national. Derrière sa jolie présentation se cache un ingrédient très surveillé, présent en quantité trop élevée. Ce rappel soulève des questions sur la sécurité de certains produits festifs.

Vous l’avez peut-être achetée sans savoir. Pas de panique : on vous explique tout. Comment la reconnaître ? Pourquoi elle est retirée ? Et surtout, ce qu’il faut faire si vous l’avez chez vous.

Pourquoi cette brioche d’Intermarché est-elle dangereuse ?

Cette brioche semble normale. Elle est douce, sucrée, pleine de fruits confits. Mais dans sa recette, un ingrédient pose problème. Des raisins secs ont été utilisés. Ces raisins contiennent un pesticide interdit en trop grande quantité.

Ce pesticide s’appelle chlorpyrifos. Il est utilisé pour tuer les insectes dans les cultures. Mais ici, il y en a trop. Cela dépasse la limite autorisée. Alors, même si la brioche a bon goût, elle peut être mauvaise pour la santé.

C’est pour cette raison qu’Intermarché a lancé le rappel du produit. Il veut éviter que des gens tombent malades. Ce n’est pas une erreur de fabrication. C’est un problème avec les ingrédients utilisés. C’est pour ça que les experts considèrent cette brioche comme dangereuse.

Comment identifier le produit concerné ?

La brioche rappelée a été vendue dans toute la France entre le 8 et le 23 avril 2025. Elle n’a pas de marque. Son nom est simple : “Brioche Fruits Confits”. Elle est emballée dans un blister transparent, avec une étiquette “Fruits confits”.

C’est la société La Gerbe Savoyarde qui l’a fabriquée. Si vous avez acheté une brioche à Intermarché pour Pâques, regardez bien l’emballage. Le numéro de lot est 3511242811509.

À lireIntermarché fait une annonce trouble : ces 28 magasins ferment définitivement cette semaine

Même si le paquet ne montre pas la date limite de consommation, cette information peut quand même vous aider. Ce n’est pas facile de s’y retrouver, mais mieux vaut vérifier votre placard ou congélateur si vous en avez gardé une.

Quels sont les risques pour la santé ?

Le chlorpyrifos peut être dangereux pour le cerveau, surtout chez les enfants. Ce produit chimique provoque des nausées, des maux de tête ou des troubles du développement quand on en mange trop.

Beaucoup de pays ont donc décidé de l’interdire. Même s’il ne rend pas malade tout de suite, il peut faire du mal si on en mange souvent. C’est pour cela que les autorités ont demandé à Intermarché de retirer cette brioche.

Pour les enfants, le risque est encore plus grand, car leur corps est plus fragile. Il est donc important de ne pas manger cette brioche si vous l’avez encore.

Que faire si vous avez acheté cette brioche ?

Si vous avez cette brioche chez vous, ne la mangez pas. Même si elle sent bon, elle peut être dangereuse. Vous pouvez la rapporter au magasin Intermarché. Le personnel vous expliquera ce qu’il faut faire et peut vous rembourser dans certains cas.

Sinon, jeter la brioche à la poubelle est aussi une solution. Il ne faut pas prendre de risque. Si vous avez des questions, un numéro est disponible : 0450575727. Le plus important, c’est de ne pas consommer ce produit et de prévenir votre entourage si vous pensez qu’ils l’ont aussi acheté.

Imaginez rouler tranquillement en ville. Tout à coup, un nouveau feu jaune s’allume près d’un passage piéton. Pas celui que vous connaissez déjà. Celui-là est pour les piétons, et il pourrait bientôt changer votre façon de conduire. Depuis avril 2023, plusieurs villes testent ce dispositif inédit pour limiter les accidents. Et si ça marche, il pourrait devenir obligatoire partout.

Mais ce feu jaune, c’est quoi exactement ? Que signifie-t-il pour vous, automobilistes ? Faut-il déjà adapter vos réflexes ? Une chose est sûre : ce petit feu discret pourrait bien tout changer. Et vous risquez de ne pas le voir venir.

En France, il y a encore trop d’accidents sur la route. Chaque année, des piétons se font renverser en traversant. Les feux rouges et verts ne suffisent plus. Pour essayer de mieux les protéger, une nouvelle idée a vu le jour : le feu jaune pour piétons.

Il ne remplace pas les autres feux, il s’ajoute entre le vert et le rouge. Il prépare les piétons à la fin du feu vert. Quand ce feu jaune s’allume, cela veut dire qu’il faut finir de traverser vite ou attendre le prochain feu vert.

C’est un peu comme le feu orange pour les voitures. Ce feu jaune est là pour éviter les mauvaises surprises, surtout quand un piéton s’engage alors que la voiture redémarre.

Où ces feux sont-ils déjà installés ?

Aujourd’hui, plusieurs villes de France testent ce nouveau feu. C’est une expérimentation qui a commencé en avril 2023. On peut les voir à Metz, Nantes, Nancy, Nice, Strasbourg et Toulouse. Chaque ville a installé ces feux jaunes sur deux endroits différents.

Dans certaines rues, le feu clignote. Dans d’autres, il reste allumé sans bouger. Cela permet de comparer les résultats. L’idée, c’est de savoir si ces feux sont vraiment utiles pour la sécurité.

À lireBonne nouvelle pour les automobilistes : la vitesse maximale augmente sur ces autoroutes

Une autre ville, Versailles, a décidé de ne pas continuer l’essai. Elle a trouvé que le coût pour installer ces feux était trop cher. Mais dans les autres villes, les tests vont encore durer jusqu’en 2027.

Ce que les automobilistes doivent savoir

Pour les automobilistes, ce nouveau feu change aussi des choses. Même si ce feu jaune est fait pour les piétons, les conducteurs doivent être encore plus attentifs. Quand ce feu s’allume, cela veut dire que des piétons sont encore en train de traverser.

Il faut donc rester vigilant, même si le feu rouge pour les voitures va bientôt passer au vert. Il ne faut surtout pas redémarrer trop vite. Ce feu aide à éviter les erreurs et à mieux partager la route. En comprenant ce feu, les automobilistes participent aussi à la sécurité de tous.

Vers un déploiement national ?

Pour l’instant, ce feu jaune n’est qu’un test. Mais s’il donne de bons résultats, il pourrait être installé partout en France. Le gouvernement attend de voir les chiffres et les retours des villes. Si les accidents diminuent, alors ce feu pourrait devenir obligatoire.

Ce serait un grand changement pour tous : piétons et conducteurs. Mais pour cela, il faut du temps. Il faut analyser les données, comparer les villes, et voir ce qui marche le mieux. En attendant, mieux vaut rester à l’affût. Car bientôt, ce petit feu jaune pourrait faire partie du quotidien de tous les automobilistes.

Faut-il priver les familles d’argent pour ramener les enfants à l’école ? C’est le pari audacieux lancé par le maire d’une ville du sud. Face à la hausse des enfants déscolarisés, une mesure radicale pourrait bientôt s’imposer : suspendre les allocations familiales. Une décision choc qui suscite autant de soutien que de colère. Le but ? Pousser les parents à reprendre en main l’avenir de leurs enfants.

Cette idée, déjà testée ailleurs, revient aujourd’hui au cœur du débat. Est-ce une bonne solution ? Ou une sanction de trop ? On vous explique tout. Mais attention, vous n’avez encore rien vu…

Une décision radicale : vers la fin des aides en cas d’absences non justifiées

Dans une ville du sud de la France, le maire veut prendre une décision très forte. Il pense que certains parents ne prennent pas assez au sérieux l’école. Alors, il propose une idée simple mais choquante : enlever les allocations familiales si l’enfant ne va plus à l’école.

Ces aides sont données chaque mois pour aider les familles. Mais pour le maire, ce n’est pas normal de recevoir de l’argent quand un enfant ne respecte pas la loi. Depuis 2019, l’école est obligatoire dès 3 ans et jusqu’à 16 ans.

Si l’enfant manque trop souvent l’école sans bonne raison, les parents risquent déjà des amendes. Mais là, on parle de toucher à l’argent. Pour le maire, c’est une façon d’obliger les familles à réagir.

Le vrai visage de la déscolarisation en France aujourd’hui

En France, environ 100 000 enfants ne vont pas à l’école. C’est énorme. Et ce ne sont pas seulement des enfants qui vivent dans des situations très dures. Certains vivent dans des bidonvilles, d’autres sont des mineurs étrangers seuls.

Mais il y a aussi des familles françaises qui arrêtent d’envoyer leurs enfants à l’école sans vraie raison. Ces enfants se retrouvent dans la rue ou livrés à eux-mêmes. Cela peut les mener à des problèmes plus graves, comme la délinquance.

À lireAllocations familiales 2025 : découvrez les nouveaux plafonds de ressources et vérifiez si vous êtes concernés

L’école n’est pas seulement un endroit pour apprendre à lire. Elle aide aussi à préparer l’avenir. Sans école, les enfants risquent de ne pas trouver de travail plus tard. C’est pour cela que le gouvernement veut absolument lutter contre le décrochage scolaire.

Des villes qui passent à l’action : Béziers et Narbonne en première ligne

À Béziers, le maire Robert Ménard veut agir vite et fort. Il compte supprimer les aides familiales dès la prochaine rentrée pour les familles dont les enfants sont déscolarisés. Pour lui, l’école est une obligation, pas un choix. La ville de Narbonne a déjà commencé une action similaire.

Ils travaillent avec les juges et d’autres services pour tester cette idée. Les élus pensent que les discours ne suffisent plus. Il faut des actes. Ils veulent faire comprendre aux parents que laisser un enfant sans école, c’est comme lui enlever une chance de réussir dans la vie.

Allocations familiales : un levier efficace ou un coup de bluff ?

Mais cette idée fait aussi débat. Certains pensent que c’est une bonne solution pour faire bouger les familles. D’autres disent que c’est injuste, surtout pour les enfants qui ne sont pas responsables des décisions de leurs parents.

Enlever de l’argent ne va pas forcément régler le problème. Peut-être que les familles ont besoin d’aide, pas de punitions. Alors, cette mesure est-elle vraiment efficace ? Ou juste un coup de communication ? Le débat est lancé, et il ne fait que commencer.