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Vous pensiez que l’été était arrivé en avance ? Erreur ! La météo s’apprête à tout renverser. Après plusieurs jours de chaleur record, un coup de froid soudain va surprendre toute la France. Le ciel bleu va disparaître, remplacé par des nuages menaçants et des orages inattendus. Même les températures vont chuter de façon impressionnante.

30 °C un jour, 13 °C le suivant. Ce week-end, oubliez les pique-niques et les balades en t-shirt. Sortez vos parapluies et prévoyez des vêtements chauds. La météo vous prépare un vrai ascenseur émotionnel.

Une chaleur exceptionnelle… mais trompeuse

Fin avril, la France a vécu comme un petit été. Le soleil brillait partout. Il faisait chaud, même très chaud pour la saison. À Paris, à Rouen ou à Poitiers, le thermomètre a montré plus de 30 degrés.

Les gens étaient en t-shirt, certains ont même sorti les shorts. On croyait que le mois de mai allait continuer ainsi. Mais attention, cette chaleur n’était qu’un piège du printemps. En réalité, la météo préparait un grand changement.

Car ce beau temps ne devait pas durer. Les experts en météo l’avaient dit : ce coup de chaud était précoce, mais pas rare. Et surtout, il allait vite être remplacé par du vent, des nuages et de la pluie.

Samedi : le début des orages et de la chute des températures

Dès samedi, le ciel change de ton. Des nuages noirs arrivent par le nord. Très vite, ils recouvrent une grande partie du pays. La Bretagne, le Cotentin, puis le sud-ouest voient tomber les premières gouttes.

Ensuite, les orages éclatent. On entend le tonnerre, on voit les éclairs. Certaines zones sont plus calmes, comme les Pays de la Loire ou le Centre-Val de Loire, mais presque tout le monde est touché.

Et surtout, les températures commencent à chuter. Fini les 28 ou 30 degrés. Dans certaines régions, il ne fait même plus 20. Ce changement de temps est brutal. Il surprend les Français, qui pensaient encore profiter d’un week-end au soleil.

Dimanche : un vrai coup de froid sur tout le pays

Le dimanche, c’est encore pire. La pluie tombe du matin au soir, sur la moitié nord du pays. L’après-midi, les orages gagnent le sud. Dans la vallée du Rhône, sur le littoral méditerranéen, le ciel devient violent. Et le froid arrive avec.

Là où il faisait presque 30 degrés, on passe parfois sous les 15. En Île-de-France, dans le Nord ou dans l’Est, le thermomètre chute de 10 à 12 degrés en deux jours.

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C’est comme si l’hiver revenait en plein mois de mai. Les enfants remettent les manteaux, les adultes ressortent les parapluies. La météo a changé d’humeur, et personne n’y était vraiment prêt.

Et après ? Une météo instable qui persiste

Et ce mauvais temps ne s’arrête pas là. Toute la semaine suivante s’annonce plus froide que d’habitude. Le ciel reste souvent gris. Le soleil se montre un peu, mais pas longtemps.

Les températures ne dépassent plus les 20 degrés dans la plupart des régions. Certains orages vont continuer, surtout dans le sud. Cette météo instable va durer plusieurs jours.

Les spécialistes sont prudents, mais ils espèrent une amélioration pour les ponts de mai. En attendant, gardez vos pulls et vos parapluies… car le printemps reste capricieux.

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Imaginez un Lidl comme vous n’en avez jamais vu. Pas de file d’attente, pas de gros chariots, et surtout, pas de caissier. À Versailles, juste en face de la gare, Lidl a lancé un magasin miniature mais ultra malin. Ce lieu casse toutes les règles habituelles. Ici, vous trouvez seulement l’essentiel, et tout se fait en mode express. Pourquoi ce changement ? Pour s’adapter aux clients pressés du quotidien.

Avec ce nouveau pari, Lidl veut tester un concept complètement différent. Et ce n’est que le début… Ce magasin pourrait bien changer votre façon de faire les courses. Mais qu’est-ce qui rend ce Lidl si spécial ?

Un Lidl plus petit, mais ultra pratique

Le nouveau magasin Lidl à Versailles est deux fois plus petit que les autres. Il fait seulement 654 mètres carrés. Pourtant, tout est bien pensé. On y trouve seulement l’essentiel, comme des fruits, du pain, du fromage, ou des boissons.

Il n’y a pas de vêtements ou d’outils de bricolage. Tout est alimentaire, rien de plus. Cela permet d’aller plus vite et de ne pas se perdre dans les rayons. Ce format est fait pour ceux qui ont peu de temps.

Même si le magasin est petit, il reste facile à visiter. Les produits sont bien rangés, les allées sont larges et on s’y retrouve facilement. Ce Lidl va à l’essentiel, pour un gain de temps assuré.

Une expérience de course 100 % automatisée

Ce Lidl est aussi spécial parce qu’il n’y a aucune caisse normale. Tout se passe avec des caisses automatiques. Il y en a dix-huit au total. On passe ses articles, on paye, et on part, tout seul.

C’est très rapide. Il n’y a pas de retour possible dans les allées. Une fois que vous avez avancé, vous devez continuer jusqu’à la sortie. Cela rend le parcours simple et fluide.

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Même si tout est automatique, des employés sont là. Ils aident les clients et s’occupent du bon fonctionnement du magasin. C’est une nouvelle façon de faire les courses, sans stress ni attente.

Un pari urbain pour les voyageurs pressés

Ce magasin se trouve juste en face de la gare de Versailles-Chantiers. Chaque jour, des milliers de personnes passent par là. Lidl a eu l’idée de faire un magasin pour eux. Il s’adresse à ceux qui ont peu de temps et qui veulent acheter vite.

Le magasin est ouvert toute la journée, ce qui est pratique pour les gens qui prennent le train tôt ou tard. Même le bâtiment est moderne et joli, fait de bois et de verre, avec un toit plein de plantes. C’est un lieu pensé pour la ville, pratique et bien situé. Lidl vise clairement les citadins pressés.

Le début d’un nouveau modèle pour Lidl ?

Ce Lidl n’est pas comme les autres, et cela pourrait devenir le futur de l’enseigne. La marque teste ce nouveau style de magasin pour voir s’il plaît. Si c’est un succès, d’autres pourraient ouvrir dans les gares du Grand Paris.

Ce format s’adapte aux petites surfaces et aux loyers chers. Il garde les bons prix, mais avec moins de produits et plus de rapidité. C’est un vrai laboratoire d’idées. Lidl change ses habitudes et veut s’adapter à notre mode de vie. Ce magasin pourrait bien être le premier d’une longue série.

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ups-va-fermer-20-000-sites-:-votre-point-relais-est-il-en-danger-?-voici-ce-qu’on-sait
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UPS fait trembler le monde de la livraison. En annonçant 20 000 suppressions de postes, l’entreprise déclenche une vraie vague d’inquiétude. Aux États-Unis, des dizaines de sites vont fermer. Et en France ? Les clients s’interrogent : leurs points relais vont-ils être concernés ? Aujourd’hui, ces lieux sont devenus essentiels pour récupérer des colis rapidement.

Imaginez qu’ils disparaissent… C’est un vrai casse-tête pour des milliers de Français. Mais alors, faut-il vraiment s’inquiéter ? Est-ce la fin de ce service pratique et gratuit ? On vous explique ce qui se passe réellement.

Pourquoi UPS supprime autant de postes dans le monde ?

UPS est une grande entreprise américaine qui livre des colis partout dans le monde. Elle existe depuis plus de 100 ans. Mais aujourd’hui, elle traverse une période difficile. À cause de l’économie qui va mal aux États-Unis, UPS a décidé de faire des économies.

Cela veut dire qu’elle doit dépenser moins d’argent pour continuer à exister. UPS a aussi un gros client qui s’appelle Amazon. Ce client a réduit ses commandes. Du coup, UPS gagne moins d’argent.

Pour compenser, l’entreprise a annoncé qu’elle allait supprimer 20 000 emplois. Ce choix est dur, mais il est fait pour que l’entreprise continue à fonctionner. Ce n’est pas la première fois qu’une grande société prend ce genre de décision en période compliquée.

L’impact de ces décisions sur les États-Unis

Aux États-Unis, les effets sont déjà visibles. UPS a annoncé la fermeture de 73 bâtiments. Cela veut dire que de nombreux employés vont perdre leur travail. Ces endroits sont souvent des entrepôts ou des bureaux importants pour les livraisons.

En les fermant, UPS va changer son organisation pour livrer autrement. Pour les Américains, cela peut vouloir dire des livraisons plus lentes ou des points de retrait plus loin de chez eux.

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C’est aussi une mauvaise nouvelle pour les familles des employés concernés. Beaucoup vont devoir chercher un nouveau travail. La logistique est un secteur important, et ces changements vont sûrement avoir des conséquences dans plusieurs villes.

UPS en France : quel avenir pour les points relais ?

En France, UPS est bien installée. Il y a plus de 6 000 points relais dans tout le pays. Ces lieux permettent aux gens de venir chercher leurs colis facilement, près de chez eux. Pour l’instant, UPS n’a pas dit qu’elle allait en fermer. Rien n’a été annoncé officiellement pour la France.

Mais avec ce qui se passe aux États-Unis, beaucoup de Français s’interrogent. Est-ce que leurs points relais vont disparaître ? Est-ce qu’il faudra aller plus loin pour récupérer un colis ? L’entreprise travaille avec d’autres sociétés françaises pour garder un bon service. Cela rassure un peu, mais des doutes restent.

Ce que vous devez surveiller dans les prochaines semaines

Même si rien n’est encore décidé pour la France, il faut rester attentif. Les annonces peuvent arriver rapidement. Si UPS décide de fermer des points relais ici, cela pourrait changer vos habitudes. Peut-être qu’un jour, vous devrez faire plus de route pour récupérer un colis.

Il est donc important de suivre l’actualité de près. Si vous utilisez souvent un point relais, renseignez-vous auprès de votre commerçant. Pour le moment, UPS continue son service normalement, mais tout peut changer. Gardez un œil ouvert sur les prochaines infos.

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c’est-fini-pour-le-chomage-?-cette-regle-de-france-travail-inquiete-de-nombreux-beneficiaires
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À partir du 1er juin 2025, le chômage ne sera plus suivi comme avant. France Travail lance une nouvelle règle qui risque de surprendre de nombreux bénéficiaires. Le système de contrôle change, les méthodes aussi. Fini les sanctions automatiques, place à une évaluation plus globale. Mais ne vous y trompez pas : derrière cette souplesse apparente, les contrôles vont exploser.

Plus nombreux, plus ciblés, ils pourraient bien mettre en difficulté ceux qui pensaient passer entre les mailles. Une réforme discrète, mais qui s’annonce comme un tournant dans la gestion du chômage.

Chômage : une réforme silencieuse mais radicale

Depuis quelques mois, France Travail prépare un grand changement. Peu de gens en parlent, mais il va tout bouleverser. Ce n’est pas juste un petit ajustement, c’est une vraie nouvelle façon de faire. Avant, les agents contrôlaient un peu au hasard.

Maintenant, ils organisent mieux les contrôles, les rendent plus précis et en font beaucoup plus. Les agents vont pouvoir regarder de plus près chaque situation. Le but ? Trouver ceux qui cherchent vraiment du travail.

Ce changement, même s’il semble discret, pourrait bien avoir de grandes conséquences pour beaucoup de personnes inscrites au chômage. Tout va changer, sans que vous ne vous en rendiez compte tout de suite.

Fini les sanctions automatiques pour un oubli

Avant, si vous ne veniez pas à un rendez-vous avec France Travail, vous étiez puni tout de suite. Même si c’était un simple oubli, vous risquiez une sanction. Mais ça, c’est terminé.

À partir de juin 2025, les agents vont regarder toute votre situation avant de décider. Ils vont voir si vous cherchez du travail sérieusement, si vous avez un bon comportement.

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Si c’est juste un petit oubli, vous ne serez plus sanctionné automatiquement. C’est une façon plus juste de faire, qui tient compte de votre vie et de vos efforts. Cela peut éviter beaucoup de stress pour ceux qui font vraiment de leur mieux.

Des contrôles plus humains mais plus nombreux

France Travail veut être plus compréhensif, mais cela ne veut pas dire qu’il y aura moins de contrôles. Au contraire, il y en aura beaucoup plus. En 2024, il y a eu un peu plus de 600 000 contrôles. En 2027, il y en aura plus de 1,5 million.

C’est énorme. Mais cette fois, chaque contrôle sera différent. Les agents pourront décider de ne pas vous convoquer si votre dossier est complet. Ils pourront aussi voir directement si vous cherchez activement un emploi. Le contrôle sera plus adapté à votre profil. Cela semble plus humain, mais il faudra être encore plus sérieux.

Pourquoi cette nouvelle méthode peut tout changer ?

Avec cette réforme, tout peut changer pour ceux qui sont au chômage. Si vous montrez votre motivation et que vous faites des efforts, les agents de France Travail le remarqueront. Ils ne vous puniront plus pour un simple oubli. Mais attention, cela ne veut pas dire que ce sera plus facile.

Il faudra prouver que vous cherchez vraiment du travail. Les agents vont pouvoir mieux voir qui est sincère et qui ne l’est pas. Ce nouveau système peut aider ceux qui veulent vraiment s’en sortir. Mais pour les autres, il risque de devenir très strict. Ce changement est important, et vous devez bien vous y préparer.

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vous-n’ouvrez-pas-votre-portiere-« a-la-hollandaise »-?-une-amende-salee-pourrait-vite-tomber
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Vous ouvrez votre portière sans trop y penser ? Attention, cela pourrait bientôt vous coûter cher. Une nouvelle pratique appelée « ouverture à la hollandaise » fait débat en France. Elle pourrait devenir obligatoire pour tous les conducteurs. L’objectif ? Éviter les accidents avec les cyclistes. Cette méthode, déjà appliquée aux Pays-Bas, serait même intégrée à l’examen du permis de conduire.

Une mesure simple, mais qui pourrait bien bouleverser vos habitudes et votre portefeuille. Car si elle devient la norme, ne pas l’appliquer pourrait entraîner une amende. Alors, êtes-vous prêt à changer votre manière de sortir de votre voiture ?

Pourquoi cette méthode pourrait devenir obligatoire ?

Chaque jour, des cyclistes sont blessés à cause d’une portière ouverte trop vite. Un conducteur gare sa voiture, ouvre sa portière, et un vélo arrive… c’est l’accident. Pour éviter cela, des experts ont proposé une idée : changer la façon d’ouvrir la portière.

Cette méthode s’appelle l’ouverture « à la hollandaise ». Elle vient des Pays-Bas, un pays où il y a beaucoup de vélos. Là-bas, cette habitude sauve des vies. En France, un rapport a été remis au ministère des Transports.

Dedans, il y a plein de conseils pour mieux vivre ensemble sur la route. Et cette méthode en fait partie. C’est pour ça qu’elle pourrait bientôt devenir obligatoire, pour protéger les cyclistes et éviter les accidents bêtes.

Comment fonctionne l’ouverture « à la hollandaise » ?

Ouvrir sa portière « à la hollandaise », c’est simple. Mais il faut un peu changer ses réflexes. Normalement, on ouvre la portière du conducteur avec la main gauche. Avec la méthode hollandaise, on utilise la main droite. En faisant ça, on tourne son corps vers la portière.

Du coup, on regarde automatiquement derrière soi. On voit mieux si un vélo ou une trottinette arrive. C’est pareil pour le passager : il ouvre avec la main gauche. Ce petit geste change tout. Il oblige à vérifier le danger avant d’ouvrir. C’est un moyen facile et intelligent de garder tout le monde en sécurité.

Les arguments pour et contre cette nouvelle règle

Beaucoup de gens trouvent que cette méthode est une bonne idée. Des spécialistes de la route disent que c’est un geste simple qui peut sauver des vies. Des journalistes et des responsables de la sécurité sont d’accord.

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Ils pensent même que ce geste devrait être appris pendant le permis de conduire. Mais d’autres personnes ne sont pas d’accord. Certains disent que c’est inconfortable.

Tourner le corps pourrait faire mal au dos, surtout pour les personnes âgées ou qui ont des problèmes de santé. D’autres trouvent que c’est inutile : ils regardent déjà dans le rétroviseur et l’angle mort. Pour eux, c’est juste une nouvelle règle de plus.

Une amende bientôt en cas de non-respect ?

Pour l’instant, rien n’est décidé. Mais si cette règle devient obligatoire, il faudra la respecter. Sinon, on pourrait recevoir une amende. C’est un peu comme ne pas mettre sa ceinture. Le but, ce n’est pas de punir. C’est surtout de protéger les cyclistes.

Le ministère des Transports réfléchit encore. Un jour, cette méthode pourrait être notée au permis de conduire. Et si elle devient une vraie règle, tout le monde devra s’y habituer. Alors autant commencer à changer ses gestes maintenant.

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Vous avez sûrement du riz dans votre cuisine. C’est simple, bon marché et on en mange très souvent. Mais savez-vous vraiment ce qu’il contient ? Une récente enquête de 60 Millions de consommateurs tire la sonnette d’alarme. Derrière ce grain blanc ou complet, une vérité beaucoup moins appétissante se cache. Même les grandes marques que vous connaissez bien ne sont pas épargnées.

Le riz, que l’on croit sain, pourrait en réalité cacher des substances dangereuses pour la santé. De quoi semer le doute dans votre assiette. Mais faut-il pour autant arrêter d’en manger ? Pas forcément. Il existe des solutions simples pour continuer à en profiter sans risques.

Le riz, un aliment de base sous surveillance

Le riz, tout le monde en mange. Il est dans presque toutes les cuisines. On l’adore avec des légumes, dans un risotto ou même en dessert. C’est un aliment simple, facile à cuisiner et que l’on peut garder longtemps.

Beaucoup de familles en mangent chaque semaine. Mais aujourd’hui, une alerte inquiète les consommateurs. Selon une enquête de 60 Millions de consommateurs, ce produit que l’on pense sain n’est pas toujours si bon pour la santé.

Certaines marques vendent du riz contenant des substances dangereuses, même si elles sont autorisées par la loi. Cette révélation fait peur, car cet aliment est très populaire. Il est donc important de savoir ce que l’on met dans son assiette.

Pourquoi le riz contient-il autant de pesticides ?

Le riz pousse dans des champs très humides. Pour le faire grandir, les agriculteurs utilisent souvent des produits chimiques. Ces produits s’appellent des pesticides. Ils servent à tuer les insectes ou les mauvaises herbes.

Mais ils laissent des traces dans le riz. Même si ces traces sont faibles, elles peuvent nuire à la santé quand on en mange souvent. Dans certaines régions, comme le Pendjab, les champs de riz sont très traités.

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Le sol et l’eau y sont souvent pollués. Résultat : le riz récolté contient plus de pesticides. Ces substances, comme le tébuconazole ou le butoxyde de pipéronyle, sont dures à prononcer… mais surtout, elles peuvent provoquer des maladies graves.

Quelles marques éviter pour limiter les risques ?

L’étude a testé 15 marques. Et certaines ont reçu de très mauvaises notes. Le riz basmati de la marque U, par exemple, est l’un des plus contaminés. Celui de Ben’s Original et Vivien Paille aussi.

La marque Intermarché vend le riz Saint Eloi, un peu mieux noté mais toujours dans la zone rouge. On retrouve ces marques partout, car beaucoup de gens les achètent et les consomment. Pourtant, elles peuvent cacher des risques pour votre santé.

À l’inverse, les meilleurs aliments sont souvent bio ou viennent de France. Le riz de Camargue ou celui des marques bio comme Autour du Riz ou La Vie Claire contiennent beaucoup moins de pesticides. C’est un bon choix pour protéger sa famille.

Comment continuer à manger du riz sans se mettre en danger ?

Pas besoin d’arrêter le riz ! Il faut juste prendre quelques bonnes habitudes. Choisissez du riz bio si vous pouvez. Même s’il n’est pas parfait, il est bien moins contaminé. Lavez avant de le cuire.

Faites-le tremper un peu, cela aide à retirer les substances en trop. Essayez aussi de varier les types de riz et leurs origines. Ne mangez pas toujours le même. Alterner les variétés permet de réduire les risques. Et pourquoi ne pas découvrir du riz d’Italie ou d’Espagne ? Il existe plein de saveurs à tester, tout en prenant soin de votre santé.

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taxe-abri-de-jardin-:-cette-hausse-surprise-va-couter-cher-a-certains-proprietaires-en-2025
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Vous rêvez d’un petit abri pour ranger vos outils ou abriter vos plantes ? Avant de vous lancer, attention à la taxe abri. En 2025, elle augmente encore, pour la neuvième année d’affilée. Et cette fois, certains propriétaires vont payer beaucoup plus. Ce n’est pas seulement une formalité : cette taxe peut vite alourdir votre budget si vous ne faites pas attention.

Tout dépend de la taille, de la structure… et même de la région où vous habitez. Certains abris y échappent, d’autres non. Alors, êtes-vous concerné ? Ne vous fiez pas aux apparences, cette hausse peut tomber sans prévenir. Mieux vaut bien comprendre les règles avant de poser la première planche.

Pourquoi la taxe abri augmente chaque année

Chaque année, la taxe sur les abris de jardin devient un peu plus chère. C’est comme une règle qui revient tout le temps. Cette taxe s’appelle la taxe d’aménagement. Elle aide les villes à payer des choses utiles comme les routes ou les écoles.

Pour savoir combien elle coûte, l’État utilise un chiffre spécial. Un groupe qui s’appelle l’INSEE décide ce chiffre chaque année. En 2025, ce chiffre a encore augmenté. Alors, le prix de la taxe monte aussi.

Les villes peuvent aussi choisir leur propre taux. Certaines mettent un petit pourcentage, d’autres un plus grand. C’est pour cela que la taxe n’est pas la même partout en France. Mais une chose est sûre : elle augmente presque tous les ans.

Qui doit payer cette taxe en 2025 ?

Si vous avez une maison avec un jardin et que vous installez un abri, l’État vous fait sûrement payer cette taxe. Même si vous construisez une petite cabane pour ranger vos outils, cette taxe abri peut s’appliquer. Mais il ne faut pas avoir peur tout de suite.

Tout dépend de la taille de votre abri et de la façon dont il est construit. En 2025, beaucoup de Français devront payer cette taxe, surtout s’ils ont fait des travaux ou ajouté des constructions dans leur jardin.

Même une piscine ou une place de parking peut être touchée. Mais rassurez-vous, tout le monde ne paie pas. L’État exonère certaines personnes de cette taxe.

Quels types d’abris sont concernés ou exonérés ?

Pas tous les abris doivent payer la taxe. Par exemple, si votre abri est très petit, moins de cinq mètres carrés, vous ne payez rien. C’est pareil si vous laissez l’abri ouvert, comme une pergola.

En revanche, les cabanes fermées et assez hautes sont celles que l’État vise surtout avec la taxe. Si elle fait plus de 1,80 mètre de hauteur et qu’elle est couverte, alors là, la taxe tombe. Les services fiscaux taxent aussi les piscines et les tentes démontables.

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Par contre, les collectivités locales dispensent parfois de cette taxe les structures très simples, comme les pigeonniers ou les bungalows transportables, si leur taille reste raisonnable.

Comment calculer le montant de votre taxe abri ?

Le calcul peut paraître compliqué, mais il suit une règle simple. D’abord, on regarde la surface de l’abri. Ensuite, on multiplie cette surface par un montant fixe.

En 2025, l’État fixe le montant à 930 euros par mètre carré en province et à 1054 euros en Île-de-France. Puis, la ville et le département ajoutent un pourcentage. Par exemple, si la ville choisit 5 %, cela fait beaucoup.

Le montant final dépend donc de la taille de votre abri et de l’endroit où vous habitez. Voilà pourquoi il est important de bien se renseigner avant de construire.

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c’est-fini-pour-sfr-en-france-?-voici-ce-qui-attend-les-clients-de-cet-operateur-telecom
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Depuis plusieurs mois, SFR perd pied. Moins d’abonnés, plus de dettes, un service critiqué. Tout semble indiquer qu’un grand bouleversement approche. Son propriétaire, Patrick Drahi, chercherait à se débarrasser de l’opérateur, devenu un fardeau. Plusieurs options sont sur la table : vente à un concurrent, découpage entre opérateurs, ou même rachat par un groupe étranger.

Ce suspense inquiète les 7 millions d’abonnés de SFR, laissés dans le flou. À quoi doivent-ils s’attendre ? Changement d’offre ? Perte de ligne ? Pour l’instant, aucune réponse officielle. Mais les prochains mois pourraient bien redessiner le paysage télécom français.

Pourquoi SFR est en grande difficulté aujourd’hui

SFR traverse une très mauvaise passe. Depuis l’année dernière, l’opérateur a perdu près d’un million d’abonnés. Beaucoup de clients ne sont plus satisfaits. Ils trouvent le service pas assez bon, les prix trop chers, et l’aide en cas de problème souvent trop lente.

En plus, l’entreprise doit rembourser beaucoup d’argent. Elle a une énorme dette de 24 milliards d’euros. Cela veut dire qu’elle doit payer beaucoup sans gagner assez. Tout cela met SFR dans une situation très fragile.

Son propriétaire, Patrick Drahi, ne voit plus d’avenir solide pour la marque. Il pense donc qu’il serait peut-être temps de vendre. Ce choix, s’il est confirmé, pourrait tout changer pour les abonnés.

Qui pourrait racheter SFR et pourquoi c’est compliqué

Plusieurs entreprises seraient intéressées pour racheter SFR. Mais ce n’est pas si simple. En France, quatre grands opérateurs contrôlent le marché des téléphones : Orange, Free, Bouygues Telecom et SFR. Si l’un d’eux rachète SFR tout seul, cela pourrait créer un déséquilibre.

Un seul opérateur aurait trop de pouvoir, ce qui n’est pas bon pour les clients. Les prix pourraient augmenter et le choix serait plus limité. Pour éviter ça, une autre idée est sur la table. Elle consiste à partager SFR entre plusieurs opérateurs.

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Comme ça, aucun ne deviendrait trop grand. Mais cette solution prend du temps et demande des accords très précis. D’autres entreprises, venues de l’étranger, comme STC, sont aussi sur les rangs. Cela pourrait rendre les choses encore plus compliquées.

Ce que ça changerait pour les abonnés SFR

Pour les clients de SFR, la situation est très floue. Si quelqu’un rachète ou partage l’entreprise, leur abonnement change automatiquement sans qu’ils ne puissent choisir. Ils pourraient passer chez un autre opérateur sans le choisir.

Cela veut dire un nouveau contrat, peut-être un nouveau tarif, ou même un nouveau réseau. Pour l’instant, rien n’est décidé. Mais ce genre de changement prend souvent plusieurs mois. En attendant, les clients ne savent pas à quoi s’attendre.

Ils veulent garder une bonne qualité de service, mais personne ne leur promet que ce sera le cas. Certains préfèrent quitter SFR dès maintenant plutôt que d’attendre un changement imposé.

Le scénario le plus probable selon les experts

Aujourd’hui, les experts pensent que la solution la plus réaliste serait un partage de SFR entre les autres opérateurs français. Bouygues Telecom occupe une bonne position pour récupérer une partie de SFR, car il collabore déjà avec l’opérateur depuis plusieurs années.

Orange et Free pourraient aussi récupérer une partie des clients. Ce scénario permettrait de garder un bon équilibre sur le marché. Mais une surprise reste possible : un acteur étranger pourrait décider de racheter tout SFR d’un coup. Ce serait plus simple pour le vendeur, mais plus risqué pour les clients.

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Attention, ça va changer ! Si vous avez une voiture électrique ou que vous pensez en acheter une bientôt, ouvrez bien vos yeux. Jusqu’à maintenant, certains véhicules ne payaient rien pour la carte grise. Oui, zéro euro ! Mais tout ça, c’est bientôt fini. Dès le 1er mai, une nouvelle règle va s’appliquer presque partout en France. Seule une région résiste encore. faisons le point dans cet article.

Pourquoi la carte grise gratuite disparaît

Depuis 2020, les voitures électriques ne payaient pas de carte grise. C’était un cadeau du gouvernement pour aider les gens à acheter des voitures moins polluantes. Ce geste a beaucoup aidé à vendre plus de voitures électriques.

Mais aujourd’hui, l’argent manque. L’État et les régions cherchent de nouvelles façons de gagner de l’argent. C’est pourquoi ils ont décidé de retirer cet avantage. Ce changement fait partie de la nouvelle loi de finances 2025.

Les régions pourront ainsi récupérer plus d’argent grâce à la carte grise. Cela pourrait rapporter 640 millions d’euros par an ! Pour les régions, c’est une somme très utile pour financer les écoles, les routes ou les transports. Mais pour vous, c’est une dépense en plus…

Quelles régions sont concernées par ce changement

Presque toutes les régions de France vont faire payer la carte grise pour les voitures électriques. Cela veut dire que si vous vivez à Paris, Lyon, Bordeaux, Marseille ou ailleurs, vous devrez sortir votre carte bleue. Même si votre voiture ne pollue pas, vous ne serez plus exempté.

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Avant, 65 % des voitures électriques étaient immatriculées sans frais. Ce ne sera plus le cas. Maintenant, sauf si vous habitez dans une région précise, vous paierez comme tout le monde. Ce changement touche donc presque tout le pays. Seule une région a choisi de garder la gratuité. On vous en parle juste après…

Combien va coûter une carte grise électrique en 2025

Le prix dépend de deux choses : le nombre de chevaux fiscaux de votre voiture et le tarif du cheval fiscal dans votre région. Ce tarif change beaucoup selon l’endroit où vous habitez. Par exemple, en Corse, un cheval fiscal coûte 43 euros. En Bretagne, c’est 60 euros !

Si vous avez une petite voiture électrique, comme une Dacia Spring, la carte grise pourrait coûter environ 100 euros. Mais si vous roulez en Tesla Model 3, vous pourriez payer jusqu’à 750 euros. C’est une vraie différence ! Ce nouveau coût pourrait faire réfléchir ceux qui voulaient acheter une voiture électrique.

Pourquoi les Hauts-de-France font exception

Bonne nouvelle pour les habitants des Hauts-de-France ! Dans cette région, la carte grise reste gratuite pour les voitures électriques. C’est la seule région à continuer cet avantage. Elle veut encourager les gens à rouler propre.

Cette décision pourrait attirer de nouveaux acheteurs. En gardant la gratuité, la région espère convaincre plus de familles de choisir l’électrique. C’est un geste pour la planète, mais aussi pour le porte-monnaie. Peut-être que d’autres régions suivront cet exemple un jour ? Pour l’instant, les Hauts-de-France font la différence.

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Les tomates sont belles, rouges, juteuses. Elles sentent bon l’été. Mais sous leur peau brillante, elles cachent un vrai problème. Ces fruits qu’on aime tant peuvent contenir beaucoup de pesticides. Même un bon rinçage à l’eau ne suffit pas toujours. Pourtant, il existe des gestes simples que vous pouvez faire chez vous. Avec des produits que vous avez déjà dans la cuisine, vous pouvez nettoyer vos tomates bien mieux.

Pas besoin de produits chers ni compliqués. En changeant une simple habitude, vous pouvez protéger votre santé et celle de votre famille. Vous serez surpris de voir à quel point c’est facile. Alors, comment faire pour vraiment éliminer les pesticides ?

Pourquoi les tomates sont pleines de pesticides

Les tomates que vous achetez au supermarché ne sont pas toujours aussi saines qu’elles en ont l’air. Elles ont une belle couleur rouge, elles brillent, mais en réalité, elles ont souvent reçu beaucoup de produits chimiques.

Ces produits s’appellent des pesticides. Les agriculteurs les utilisent pour protéger les tomates contre les insectes, les champignons ou les mauvaises herbes. Mais le problème, c’est que ces produits restent sur la peau des tomates, parfois même à l’intérieur.

Les tomates sont fragiles, elles poussent vite, et pour en avoir toute l’année, on les traite souvent. Voilà pourquoi elles font partie des fruits les plus chargés en pesticides. Et ces produits peuvent être mauvais pour la santé, surtout pour les enfants.

Beaucoup de gens croient qu’il suffit de passer les tomates sous l’eau pour les nettoyer. C’est vrai que l’eau enlève un peu de saleté, mais pas les pesticides. Ces produits sont faits pour résister à la pluie.

Donc, même si vous frottez bien, l’eau seule n’enlève qu’une petite partie des résidus. Certains pesticides sont même invisibles et collent très fort à la peau. D’autres vont sous la peau, là où l’eau ne peut pas aller.

Alors, même si vous lavez vos tomates pendant longtemps, il reste toujours des traces de produits chimiques. Il faut donc trouver une autre méthode, plus efficace et naturelle, pour vraiment les nettoyer sans danger.

Vinaigre blanc et bicarbonate : deux alliés efficaces

Heureusement, il existe des solutions simples pour mieux nettoyer vos tomates. Vous n’avez pas besoin de produits spéciaux ou chers. Le vinaigre blanc et le bicarbonate de soude sont deux aides très utiles.

Le vinaigre blanc peut détruire une partie des pesticides qui restent à la surface. Il suffit de mettre un peu de vinaigre dans de l’eau, de faire tremper les tomates quelques minutes, puis de les rincer. Le bicarbonate, lui, est encore plus fort.

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Il peut casser la structure de certains pesticides. En laissant tremper les tomates dans un mélange d’eau tiède et de bicarbonate, vous pouvez enlever presque tous les produits. Ces deux ingrédients sont naturels, pas chers et très efficaces. En plus, ils ne changent pas le goût des tomates.

La meilleure solution reste encore… le bon choix au départ

Même si le vinaigre et le bicarbonate aident beaucoup, le mieux est encore de choisir de bonnes tomates dès le départ. Quand c’est possible, achetez des tomates bio. Elles viennent de fermes qui n’utilisent pas de pesticides chimiques.

Elles sont souvent un peu moins jolies, mais bien meilleures pour votre santé. Et si vous pouvez, épluchez les tomates. Cela enlève la peau, là où les pesticides se cachent.

Mais attention, la peau contient aussi des nutriments importants. C’est pourquoi acheter des tomates bio reste le choix le plus sûr. En faisant attention à ce que vous mettez dans votre assiette, vous faites un grand geste pour votre santé.

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